Velma Kelly
✗ Mess' : 5
✗ Inscrit le : 09/11/2010
 |  Sujet: Velma Kelly  Mar 9 Nov - 2:07 | |
| Qui suis-je ? 
Source de l'avatar |
Nom : Kelly
Prénom : Velma
Surnom : Vel
Date de naissance : 5 mai 1985
Âge : 25 ans
Groupe : Les humains
Nationalité : Écossaise
Profession : Ex-étudiante en langues étrangères
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle
Pouvoirs : Animorphose, Illusions
Fantasme(s) : Se faire surprendre/réveiller par un inconnu, les réconciliations torrides après une bonne engueulade... |
Comment suis-je ?
Description Physique :
..Velma mesure un bon mètre quatre-vingt et pèse autour des soixante-dix kilos. Ses yeux sont noisettes, ses cheveux, châtain foncé. Elle n'a pas les oreilles percées et ne porte comme bijou qu'une chaîne supportant un pendentif en argent représentant un dragon, cadeau de sa mère le jour de ses premières règles. Elle possède de longues jambes tout aussi musclées que ses bras, attestant d'un sport pratiqué régulièrement et ses hanches et sa taille sont bien marquées, la dotant de formes agréables à regarder. Ses mains sont pourvues de grands doigts élégants, terminés par des ongles soigneusement entretenus, mais assez courts et sans vernis. Sa poitrine est d'une taille raisonnable, bien proportionnée avec le reste de son corps. Ses cheveux fous, en général légèrement ondulés sauf lorsqu'ils sont mouillés, atteignent le bas de ses omoplates. Ils ne sont jamais attachés et lui donnent parfois un petit air de sauvageonne. Le jour où elle arrive au manoir, elle est vêtue d'un débardeur décolleté rouge, un jean foncé un peu usé et de ses chaussures préférées, des Dr. Martens noires (l'ancien modèle, sans les vilaines coutures jaunes sur le côté !). (5 lignes)
Description Psychique :
..Velma n'est pas une sainte, mais faire intentionnellement du mal aux autres ne fait pas partie de ses passe-temps habituels. Bien que, comme tout le monde, elle ait eu des périodes difficiles et qu'elle sache parfois faire preuve d'une rancune très tenace, elle est de ces gens qui pensent que la vengeance n'avance à rien. Un peu blasée, un peu je-m'en-foutiste face aux hostilités, elle passe beaucoup de temps sous ses deux formes animales, d'abord parce qu'elle n'est pas spécialement sociable et aussi parce qu'elle estime être ainsi mieux traitée que sous sa véritable apparence. Mais elle apprécie tout de même son corps humain et s'en préoccupe d'ailleurs un minimum : elle entretient notamment ses cheveux et ses ongles avec soin et surtout, plaisir. Cependant, elle est en général moins travaillée par ses tenues vestimentaires : un jean taille basse évasé, un body rouge et voilà : simple et efficace. Tenant difficilement en place, le sport l'apaise et elle ne saurait s'en passer. Elle aime sentir ses bras la soulever lorsqu'elle fait ses tractions, elle aime sentir ses cuisses la lancer lorsqu'elle pédale comme une folle sur son VTT. Pour elle, ces moments n'ont pas de prix et quiconque les lui arracherait s'exposerait à un des rares savons mémorables qu'elle est capable de passer.
..Velma possède un caractère plutôt lunatique : elle peut être en pleine forme un jour puis voir tout en noir le suivant ; elle peut se mettre à papoter comme une pie pendant quelques heures et l'instant d'après, s'enfermer dans un mutisme aussi surprenant que mystérieux.
..Lorsqu'on l'aborde, il faut parfois être patient : elle peut se montrer extrêmement méfiante, même envers les gens qu'elle connaît déjà et ce, pour une raison très simple : elle pense que n'importe qui peut, à tout moment, changer du tout au tout. À vrai dire, elle ne fait confiance à personne et ignore même ce que faire confiance signifie vraiment, ne l'ayant jamais expérimenté. Malheureusement, cela ne faisait en effet pas partie des valeurs que sa famille lui enseignait.
..Enfin, réservée et facilement troublée par des manières trop avenantes, Velma n'est vraiment décontractée que sous sa forme de panthère noire... ou avec un ou deux grammes d'alcool dans le sang. (5 lignes)
Qualités / Défauts :
..Côté qualités, Velma peut se vanter d'être une pro de la méfiance. Très prudente, ce n'est jamais à la légère qu'elle se confie à quelqu'un. Ce dernier peut être flatté. Elle sait prendre du recul et passe de longues heures à se poser des tas de questions sur tout ce qui se passe et se dit, sur les gens, la vie... Elle envisage tout cela avec distance et calme, ce qui peut la faire paraître un peu je-m'en-foutiste et fataliste parfois. C'est également une grande sportive.
..Côté défauts, elle être très rancunière et manifeste une certaine agoraphobie si elle se sent trop entourée. Son lunatisme la rend par moments difficile à comprendre, comme si certains jours ou instants, elle avait "envie" d'être morne. C'est également un dur labeur que de tenter d'acquérir sa confiance, qu'elle n'a encore véritablement offert à personne. Certaines personnes la décriront comme "réservée", d'autres comme "coincée". (3 lignes)
Voulez-vous connaitre mon histoire ?
Histoire :
..« "S'il te plaît, papa, lui fais pas de mal, laisse-le tranquille ! Regarde, il pleure, il a mal !
..- Les renards, c'est fait pour être chassés, mon p'tit ange : ils pullulent de partout et ils mangent les poules. Et il ne pleure pas, il appelle ses congénères pour qu'ils viennent le défendre. Ce doit être un chef de meute. Il faut vite l'achever."
..Je sais ce que vous vous dîtes. Vous êtes en train de rire, parce que ce pauvre type n'y connait manifestement rien en renards. C'est vrai, il ignore que les renards sont solitaires, sauf pendant la période de reproduction et d'allaitement. Mais ce qu'il sait très bien, c'est où trouver leurs terriers.
.."Allez. Attention ma fille, recule un peu.
..- Non, papa, non !"
..La bête hurle de sa voix aiguë, la gueule grande ouverte, les oreilles applaties. Ses yeux exhorbités de douleur fixent l'homme. Une de ses pattes est disloquée, prise dans un piège à loups. Le pauvre type tire et le renard se tait. Les oiseaux se taisent. Le vent se tait. Je me tais.
.."Voilà ! dit-il avec un sourire. On vient de sauver une quinzaine de poules, sinon plus !"
..Mes larmes ont coulé cinq jours durant.
..Ce jour-là, mon père m'a emmenée à la chasse. Ce jour-là, mon père a scellé mon destin.
..J'ai passé toute ma jeunesse à la campagne d'une Ecosse profonde. Mes parents, venus de la ville, ont décidé d'y habiter lorsque ma mère est tombée enceinte : elle voulait me voir grimper aux arbres et profiter du peu de nature qu'il restait encore sur terre. Et tout s'est passé comme elle l'avait prévu. Mon premier amour, ce fut effectivement ces prairies, ces forêts qui, dès que j'y pénètrais, me procuraient une intense sensation de liberté. Le problème, c'est que cela devint vite un calvaire d'aller à l'école ou de faire ses devoirs. Enfermée ? Jamais de la vie. Du coup, je prenais mes affaires et allais travailler sur la pelouse du vaste terrain entourant la maison, en général à côté du poulailler des voisins. La forêt n'était pas loin et il y avait souvent quelque chose pour me distraire de ma tâche ; le coq qui chantait, une buse tournoyant au-dessus des arbres, une petite araignée grimpant sur mon cahier... ou encore la silhouette d'un humain armé d'un fusil se promenant dans les bois.
..Je devais avoir autour de 7 ans lorsque mon père commença à s'absenter les samedis après-midi. Quand j'interrogeais ma mère, elle se débrouillait toujours pour trouver un moyen de contourner habilement la question ou pour changer de sujet. Puis la veille de mon huitième anniversaire (qui était justement un samedi), alors que ma mère rendait visite à ma grand-mère, mon père vint me voir, habillé d'un pantalon et d'une veste kaki et coiffé d'un chapeau beige. Dans sa main droite, il tenait fièrement un grand fusil de chasse, très impressionnant pour la gamine que j'étais.
.."Ah ! On dirait les gens qui marchent dans la forêt, pas loin, des fois !
..- Ah oui, il y en a pas loin ? Ils sont bien près des habitations. Enfin. Ma chérie, je veux que tu viennes avec moi aujourd'hui. Puisque tu aimes la nature et le sport, je suis sûr que tu vas être ravie."
..À l'époque, j'ignorais encore ce qu'était un fusil, ou à quoi cela servait. Moi, ce que je voyais, c'était un grand tube noir fixé à un morceau de bois. Sur le trajet conduisant au terrain de chasse, mon père se fit une joie de m'expliquer l' "utilité" de l'engin.
.."Vois-tu ma belle, ça, c'est un fusil, une arme à feu. Tu le tiens comme ça, et pour l'utiliser, tu appuies là-dessus.
..- Et c'est pour faire quoi ?
..- C'est pour tirer sur les bêtes qu'on appelle des nuisibles. Ce sont des animaux, mais ils sont mauvais, méchants : ils mangent notre nourriture et saccagent nos champs de céréales. Et ils sont beaucoup trop ; ils faut donc les tuer si on veut être tranquille, tu comprends ?
..- Hm-hm." je dis en hochant la tête.
..Il s'agissait de mon père : enfant, je buvais ses paroles et je le percevais un peu comme un superhéros. J'ai vite déchanté, ce jour-là.
..Il arrêta la voiture devant une barrière en bois, sur un chemin de terre. Nous sommes descendus et avons marché assez longtemps. Je me souviens n'avoir pu m'empêcher de courir partout dans les bois, me cachant derrière un arbre pour surgir en rugissant dès que mon père passait. Ensuite, mes souvenirs se font flous. Je vois d'autres hommes bourrus à la figure rougie, des chiens agités, bruyants. Un homme les détachent, les lâchent, je nous vois les suivre...
..Puis je vois le renard pris dans son piège, la patte sanglante, qui se débat avec toute la force du désespoir au point de presque parvenir à l'arracher... Les chiens l'encerclent ; il en mord un au cou puis un deuxième à la truffe. Les hommes les éloignent, les rattachent et regardent leur prise en se félicitant d'une voix forte.
..Mes petites jambes tremblent d'émoi ; je crois comprendre ce que je vois. Un animal mutilé, fou de colère, d'injustice, de peur. Entre deux jappements paniqués, il halète fébrilement, épuisé.
..C'est alors que la bête plante littéralement son regard dans le mien. Encore aujourd'hui, rien que d'y penser, j'en ai les mains moites. Quelque chose se passa, à ce moment-là. Le renard se tut et continua de me fixer. Les chasseurs, vautrés dans leur vantardise, ne remarquèrent manifestement rien. Il referma sa gueule lentement et redressa les oreilles ; il semblait étonné et intrigué. Il était magnifique : sa superbe fourrure rousse luisait tel un rayon de soleil, Mère Nature avait taillé sa tête triangulaire avec une finesse inégalée, sa longue queue touffue me donnait envie de me faire toute petite pour pouvoir m'y nicher. Soudain, mon sang ne fit qu'un tour et un violent coup de chaud inexpliqué me fit transpirer. Je n'en suis toujours pas sûre aujourd'hui et je ne sais pas pourquoi, mais il me semble avoir pensé à ce moment précis que ce renard, un jour, ce serait moi.
.."Bon, ben on l'achève. Peter, tu...
..- Non ! Non, papa, non !
..Je venais de m'accrocher au bras de mon père telle une sangsue. Je tirais de toutes mes petites forces de gamine en gémissant.
..Comme vous le savez, j'ai eu beau faire, cela s'est mal terminé. Je n'ai pas dit un seul mot sur le chemin du retour, incapable de comprendre la personne qui se tenait à côté de moi, désormais inconnue. Quand ma mère rentra et que je lui racontai tout, elle ne dit d'abord rien. Puis mon père eut le malheur de lui demander ce qui n'allait pas. Alors, elle m'envoya dans ma chambre et ce qui suivit, je ne pus l'entendre. Les semaines suivantes, je refusai de parler ou même d'approcher mon père et la relation entre mes parents se dégrada. Ils finirent par divorcer et il partit vivre en ville. J'étais alors censée passer deux semaines chez ma mère, puis deux chez mon père, mais en général, il refusait. "Garde-la et prends soin d'elle... Elle, elle ne veut plus de moi." l'entendis-je dire à ma mère un jour.
..C'était tout à fait exact.
..J'ai vécu avec ma mère jusqu'à mes 20 ans ; nous étions très proches et elle a fait tout son possible pour compenser l'absence de mon père. Les dernières années passées chez elle, je disparaissais de plus en plus souvent, la nuit comme le jour, pour m'enfoncer dans les bois, m'imprégnant de la nature comme jamais je ne l'avais fait auparavant, et comme jamais personne ne saurait que je le fis.
..Je suis ensuite partie m'installer chez une amie, en ville, pour continuer mes études de langues étrangères à l'université. La transition fut dure, mais je pouvais compter sur mon amie et elle parvint pratiquement à me faire apprécier la vie en agglomération. Elle était bien moins réservée que moi et m'aidait beaucoup à créer des liens avec les autres. Nous sortions en soirées, allions à des concerts, faisions du shopping, draguions... Une vie normale de jeunes étudiantes.
..Deux années passèrent, riches en expériences sociales. Plus je cotoyais mes congénères... moins je les aimais. Quelque chose ne collait pas, je me sentais différente, ou alors je voulais l'être. Toujours est-il que tout se terminait souvent mal : les gens que je pensais bons s'avèraient mauvais ou inconscients, mes amis les plus proches finissaient toujours par me blesser ou me décevoir profondément... C'était peut-être moi, mon aura, je ne sais pas. J'ai fini par ne plus aimer personne et me disputer aussi avec ma colocataire. Sentant le moment où l'une de nous devrait partir arriver à grands pas, je me mis à la recherche d'un endroit où loger.
..Un jour, alors que je ressortais assez désespérée d'une agence immobilière, je vis la porte d'entrée du zoo, à un ou deux pâtés de maisons. N'étant jamais entrée dans un parc animalier et désirant rapidement me changer les idées, je m'y rendis sans traîner. Arpentant les allées entre des cages toutes plus petites les unes que les autres, je ressentis vite un grand malaise. Ils étaient dedans et moi, dehors ; ne devrait-il pas en être autrement ? Qu'avaient-ils fait, eux, pour mériter ça ? Entre eux et moi, quel était le plus nuisible ? Finalement, cette balade ne fit que me conforter dans mon idée du moment : il n'y a pas de quoi être fier d'être un humain.
..J'arrivai bientôt devant la cage des panthères noires. Elle était vide. Un type non loin de là nettoyait un autre enclos. Je m'approchai.
.."Excusez-moi... Qu'est-il arrivé aux panthères ?
..- Hm ? Ah, ben... Y'en a une qui est malade alors l'autre est en quarantaine pour l'instant. On est en train de... soigner la malade à l'infirmerie.
..- L'infirmerie... ?"
..Je ne réfléchis pas, les mots suivants sortirent de ma bouche sans que je puisse les contrôler.
.."Je m'intéresse au métier de soigneur animalier... Vous pensez que je pourrais y aller, pour voir comment ça se passe ?
..- Euh, oui, y'a une vitre pour que les gens comme vous observent, les étudiants, tout ça... Mais dans ce cas, je vous préviens... Apparemment, elle est à l'article de la mort alors si vous êtes un peu sensible...
..- Ca fait partie de la vie. Et j'ai déjà vu pire, ne vous en faîtes pas.
..Peu convaincu, il m'indiqua où trouver l'infirmerie. Il s'agissait d'un bâtiment gris aux fenêtres miroirs, empêchant d'y voir quoi que ce soit. L'entrée était constituée d'un couloir assez sombre, dans lequel se trouvait la vitre d'observation. Lorsque je jetai un oeil à l'intérieur, je vis quatre personnes affairées autour d'une table. L'une d'elles s'éloigna et je pu apercevoir la tête de la panthère. Deux yeux fauves grands ouverts se plantèrent alors dans les miens. Elle respirait rapidement et je crus comprendre que les gens autour d'elle la maintenaient couchée. Deux personnes s'écartèrent encore ; je la vis presque dans son entier. Elle était longue, filiforme, aux formes rondes et élégantes. J'avais toujours adoré les félins, mais celui-ci, je le voyais comme un animal très spécial. Enfant, je m'en imaginais toujours une, tapie dans le coin de ma chambre pendant la nuit, à surveiller qu'aucun monstre de film d'horreur ne vienne troubler mon sommeil. C'était un remède très efficace contre mes angoisses nocturnes.
..La panthère continuait de me fixer. Elle ne paraissait pas souffrir, cependant, il me sembla qu'elle se battait pour vivre. Sa respiration commença à ralentir. L'un des infirmiers leva les mains et les laissa lourdement retomber. Un autre secoua la tête. Je posai ma main contre la vitre et crus soudain sentir une vibration, comme si la panthère grondait profondément. Alors je déposai mon front contre la vitre et, exactement comme 13 ans auparavant, une terrible bouffée de chaleur m'envahit. Et une fois de plus, j'en doute, mais je crois que la même pensée que ce jour fatidique me traversa l'esprit : cette panthère aussi, un jour, ce serait moi.
..L'animal ferma doucement les yeux et une unique larme roula sur ma joue.
..Ce soir, ma mère est montée dans ma chambre pour m'apporter un thé bien fort et sucré comme elle seule sait les faire. N'ayant toujours pas trouvé de logement en ville, je suis revenue m'installer chez elle le temps d'avoir plus de succès. C'est étrange, à 25 ans, d'être allongée sur le lit dans lequel on a passé ses nuits d'enfant, d'adolescente, de jeune adulte. C'est sans doute dans ces moments-là que notre vie passée nous revient inexorablement en mémoire.
..On est si bien chez soi.Peut-être est-ce pour cela que je sens mes paupières s'alourdir. Morphée m'appelle déjà alors qu'il ne doit être qu'aux alentours des 21 heures... Je ne m'en formalise pas, je lui réponds. Demain est un autre jour.(20 lignes)
Autre: (Facultatif)
Voulez-vous me connaitre derrière l'écran ?
Cette partie est exclusivement pour le "créateur" du monstre ou de l'humain. Ici, vous racontez brièvement qui est le RPGiste pour que les autres membres puissent avoir une idée de l'esprit qui pénétrera dans le corps du personnage dans le village.
____________________________________________
Ta propre description psychique :
..Je suis enjouée, gentille... mais faut pas me chercher hein, sinon je m'énèrve ! Peut-être un peu facilement, j'avoue... J'aime bien venir vers les autres, les taquiner, les faire rire, leur faire oublier leurs petits coups de blues, etc.
..Bref, je crois que je peux me qualifier de fille normale, même si je suis quand même un peu folle, parfois. J'aime les fringues, profiter de la vie, voir des gens... et mettre mon imagination à l'épreuve ! Alors quand une amie m'a parlé de forum de jeu de rôle, je me suis dit : "Pourquoi pas ?" Je n'en ai jamais fait auparavant, mais quand j'étais petite, avec une copine, on s'amusait à jouer des rôles de personnages de dessins animés ou de séries télé. J'adorais vraiment ça. En tout cas, j'ai vraiment, vraiment hâte de m'essayer au JdR sur ce forum, en plus j'aime beaucoup cet univers un peu sombre et... sexuel, aussi ! (en 3 lignes)
Ton histoire, Raconte-nous ta vie réelle :
..Bah... C'est si banal ! Je m'appelle Catherine, j'ai 21 ans... J'ai toujours vécu à Londres et j'y suis bien, c'est mon chez-moi et ça, ça ne changera jamais ! J'y ai tous mes anciens camarades, toute ma famille... Bref, c'est ma ville. Qu'est-ce que je peux dire d'autre... ? J'ai passé une scolarité, ma foi, idéale ! Sans vouloir me vanter, je suis plutôt douée et n'ai pas trop besoin de travailler pour avoir des notes honorables, alors j'ai surtout passé mon temps à créer des liens avec les autres et à profiter de mon temps libre avec eux. Enfin, tout ça n'est pas terminé, je suis maintenant à la fac, j'étudie l'histoire... C'est plus hardu que le lycée, mais on est bien plus libres, j'aime ça.
..Ah oui, et j'en ai assez de ces gamins de 20 ans tous secs et incapables de soulever une table... Je cherche un homme... Un vrai ! Pas moins de 25 ans ! Pour le physique, un peu genre Sawyer dans Lost, vous voyez ? Alors s'il y a quelque chose qui y ressemble sur le forum... Je suis "ouverte" à toute proposition, jeune homme... Rrrr ! (en 3 lignes)
Prénom/pseudo : Lily
Âge réel : 22 ans
Comment as-tu connu le forum ? Par le Campbell's Manor.
Le code du forum, c'est quoi ? Le village maudit.
Combien de temps peux-tu consacrer au forum ? 5 jours sur 7.
Comment trouves-tu le forum ? Sombre à souhait !
Un commentaire ? Ma maman disait toujours : "La vie, c'est comme une boîte de chocolat. On ne sait jamais sur quoi on va tomber." 
D'où vient ton avatar ? D'un site de fans de C. Zeta Jones.
|
|
Accueil 
(J'étais Mathéo Ledwing)
